Karasu Arimi

Karasu Arimi

Nom : Karasu

Prénom : Arimi

Sexe : Féminin

Age : 13 ans

Description physique : Assez petite pour son âge, Arimi est charpentée de façon assez harmonieuse, musclée comme une acrobate. Assez pâle, sa carnation est accentuée par la couleur de ses yeux et de ses cheveux, à savoir un noir d’ébène. Toujours coiffée d’une natte descendant au milieu de son dos, elle attache celle-ci d’un ruban bordeaux bordé de bleu nuit. Née dans une famille aisée, elle a été obligée d’apprendre les instruments à cordes, ce qui l’a rendue agile de ses doigts. Le regard vif, elle observe souvent les gens, mine de rien, et écoute énormément autour d’elle. Elle porte souvent une cape au-dessus de son uniforme, avec un capuchon trop grand ; elle l’enlève néanmoins pour les cours. A ses oreilles fines, d’aspect très fragile, on peut voir des décorations de métal, vraisemblablement de l’argent : l’un, à l’oreille gauche, représente une chèvre, prête à charger, cadeau de son oncle favori, impressionné par son agilité en certains moments ; le second, quant à lui, représente un ourobouros, présent cette fois de son meilleur ami, à l’époque. Simple babiole de bronze recouverte d’une couche de peinture, verdissant régulièrement le lobe de son oreille, ce symbole de l’infini et de la répétition est pourtant le bien le plus précieux d’Arimi. On peut observer, au creux de sa main, un tatouage, presque entièrement effacé par le temps. En regardant bien, on devine un symbole récurrent chez elle… le corbeau, encore, et toujours lui. De temps à autre, elle ressort un vêtement qu’elle affectionnait tout particulièrement lorsqu’elle vivait avec sa famille, à savoir une longue robe de soie bleu clair, aux emmanchures et col bordés de fine dentelle d’un ton quelque peu plus prononcé que l’étoffe de la toilette (car c’en était une à l’époque), encore trop grande pour elle, n’ayant pas encore les formes adéquates. Elle ne revêt ce reliquat de son passé que dans certaines circonstances, dont ses périodes de cafard, et uniquement dans l’intimité protectrice de sa chambre.

Caractère : Élevée donc dans une famille… Bourgeoise, dirons-nous, Arimi a gardé quelques tendances propres à ce milieu… D’une politesse irréprochable, d’un maintien impeccable, elle peut quelques fois devenir exaspérante par les quelques bonnes manières qui lui restent (dont sa manie de mettre la table… fourchette retournée vers la table à gauche, couteau à droite, serviette pliée, deux verres, … Ceci n’étant qu’un bref résumé). Elle est cependant assez ouverte d’esprit (ce qui l’a poussée à quitter son foyer, d’ailleurs). Elle peut avoir tendance à harceler les gens de questions, étant très curieuse. Elle se sent parfois étrangère à son entourage, ne comprenant pas forcément très bien comment fonctionnent les autres personnes, ceci dû à son environnement familial. En effet, son ancienne demeure ne comportait que des gens très froids, dissimulant leurs sentiments et vouvoyant à peu près tout le monde. D’un naturel assez gentil, elle ne s’énerve pas facilement, mais ne pardonne plus une fois la coupe pleine. Elle peut être assez rêveuse quelques fois, restant de longs moments à contempler eau, ciel ou nature en général, perdue dans ses pensées. Quoi qu’assez communicative, elle parle rarement d’elle-même, préférant écouter les autres. Par-delà même, elle est assez secrète, et apprécie donc peu qu’on se mêle de ses affaires. Elle fut néanmoins de bonne volonté pour raconter son histoire, sans trop rentrer dans les détails, aux autorités compétente lors de son arrivée dans le village de Suna. Cette bonne volonté se retrouve aussi dans sa manière d’apprendre.

Histoire personnelle : Comme annoncé plus haut, Arimi vient d’une famille aisée. Cependant, l’étroitesse d’esprit de ses parents l’a vite énervée au plus haut point, et elle est partie, un peu à l’aventure. Elle a survécu quelques temps dans de grandes villes, empruntant de quoi assurer sa subsistance aux poches des passants distraits, devenant ainsi assez douée au vol à la tire. Étant tout de même assez vite repérée, tant par les marchands n’appréciant pas l’argent sale que par les habitants lassés de se faire dépouiller, elle a dû aller et venir de nombreuses fois, changeant régulièrement de région et de ville, voyageant ainsi beaucoup. De ces voyages, elle a ramené un compagnon, attaché au nom de sa famille : un corbeau blanc comme neige, mais néanmoins pas albinos, ayant les yeux noirs. L’animal en question n’a pas de pouvoir ou de capacités particulières, hormis celle de tout corbeau qui se respecte : voler. Il s’agit donc d’un compagnon de route silencieux. Environ deux ans auparavant, Arimi est arrivée dans un village, Suna. Elle y est restée, et est maintenant inscrite en tant qu’élève à l’Académie de l’endroit.

Bien, bien, bien. Je vais commencer par le positif. Premièrement, le concept est assez originale, il y a une richesse au niveau du vocabulaire et les descriptions physiques et morales sont très satisfaisantes.

Seulement, il y a un mais, car l'histoire est beaucoup trop courte. Pour que je puisse donné mon accord, il faut que j'en sache plus sur ton histoire. C'est important pour que l'on puisse cerner ton personnage. Mais bon, tu as dis que tu la peaufineras plus tard. Je peux te donner quelques conseils: tu peux parler davantage de l'atmosphère qui règnait à la maison ou de la reltion avec tes parents, tu peux aussi parler de ton arrivée à Suna et comment tu es arrivée là, etc...

Aussi non, si tu me reviens avec une histoire plus fournie et plus fouillée avec la même qualité que tes descriptions, tu seras la bienvenue à Suna no kuni. Alors bon courage et reviens nous vite avec un BG d'enfer.

Bien, beh premièrement, sois la bienvenue sur notre forum ...

Sinon, pour ce qui est des critiques et des compliments je ne saurais dire que la même chose que Takahashi ... mais peut-être pourrais tu aussi développer ta rencontre avec ton corbeau, le fait que tu fasses du vol à la tire (pour qu'on sente bien ta nature de chapardeuse), etc.

Voilà, bonne continuation.

Bienvenue à toi,

J'ai lu attentivement ton bakground et dans l'ensemble je le trouve des plus agréable. Rien à redire au niveau de la description physique et caractérielle qui sont à mon sens très complète et bien écrites de surcroit. Cependant (au risque de répéter ce qu'a déjà dit Takahashi) j'aimerais en apprendre un peu plus sur l'histoire d'Arimi dans la vie de tout les jours. Qui sont ces amis, sa famille, comment les a-t'elle rencontrés. Pourquoi a-t'elle fait le choix de devenir shinobi,...
Tu pourrais peut être aussi écrire quelques annecdotes sur des petits épisodes de sa vie. Voila ce ne sont que quelques idées, mais je suis sur que vu la qualité de ton écriture, étoffer un petit peu ton histoire ne te pausera pas de problème.

Alors bonne chance et à très bientôt.

Voilà, j'ai un peu rallongé tout ça... En tenant compte des remarques, naturellement. Si vous en voulez plus... Ma foi, ce n'est encore une fois pas un problème, mais là je me devais tout de même d'aller me coucher quand j'ai retravaillé la longueur et le contenu.

Ravi de voir que tu ait allonger ton histoire comme promis, Arimi. Hormis quelques petits cafouillages dans ton histoire, j'ai pris un plaisir à lire ton bg, car l'originalité y est omniprésente. Elle est en a eu des malheurs la pauvre Arimi, mais Suna et ses habitants seront là pour lui apporter de la joie dans son coeur.

Donc comme tu l'as surement compris, je dis "OUI" à ta candidature. J'espère que les autres joueurs iront dans ce sens.

Ah oui j'oubliais, il manque ton nindo ( le but d'arimi dans la vie) dans ta présentation. C'est pas grand chose, mais c'est quand même important.

Hm, je peux tout arranger, quels sont les cafouillages?

Quant au but d'Arimi, en soi... Ce n'est presque rien: changer le monde? Ou du moins, faire en sorte d'éviter à bien des personnes de subir les mêmes mésaventures qu'elle. (J'avoue que cela peut paraître basique, mais comment attendre autre chose d'un personnage ayant un fond profondément ouvert et révolté par l'injustice qui a subit tout cela? C'est ce qui me semblait coller le plus logiquement au vécu et à la personnalité d'Arimi)

Note: Ca aussi, je peux le retravailler.

En fait, ca m'amuse assez de lui rajouter des choses et d'autres... Dont, naturellement, que du malheur (ah non, pardon, ce n'était pas ça). Enfin bref, si je dois encore l'étoffer ou la préciser (biffer la mention inutile), j'en serais ravie... Mais pas ce soir. Demain, vraisemblablement, car pour l'heure, je réserve cette soirée à mes propres nouvelles qui ont un peu trop souffert mon absence durant de longues semaines. Et puis, je ne vais pas laisser filer mes idées ainsi. Ceci dit, je tiens Arimi à jour, cela a sans dire.

Bien, peut-être ne sera-ce là qu'une répétion, mais je tiens à dire que j'apprécie énormément ton BG, non seulement grace au style d'écriture mais également à l'originalité du personnage, magnifique mélange de générosité et d'exaspérance ...

Enfin, quoiqu'il en soit, je sais également, après t'avoir parlée T.O., que tu désirerais, à un moment, devenir marionnettiste, et ainsi faire partie du clan Kutsuju ... quoiqu'il en soit, il faudrait que cela apparaisse dans ton B.G. (peut-être est-ce la famille qui t'a reccueillie à Suna, ou que sais-je ...)

Voilà, cela fait, tu auras également mon "oui" et ainsi également une place à l'Académie de Suna ...

Encore une fois félicitation et courage !

Bonne soirée.

Comme dit plus haut... Je m'occuperais de ça demain et, si la connection fait des siennes demain, je posterais le plus vite possible... Mais là, j'ai des enfants de papier qui réclament leur pitance...


EDITION: Ahem, le forum m'expliquant gentiment que mon post de présentation est trop long à son goût, je le fractionne en deux; je laisse sur le premier post la description physique, le caractère et l'histoire personnelle, le post suivant celui où se trouve cette édition comprenant le reste... Aaaaaah les forums qui n'acceptent pas les longs posts... Hé hé

Karasu Arimi.... La suite..



Contexte familial et amical : Famille riche et bien éduquée (ou tout du moins, ‘bien pensante’), la famille Karasu, assez renommée en certaines contrées, possède des relations dans tous les cartels de sa ville. De fait, Sigel est une ville assez corrompue, viciée, les figures marquantes faisant l’effort de garder des opinions ‘officielles’ humanistes et généreuses… Tout en, naturellement, profitant des systèmes en place, de l’esclavage, de l’espionnage inter-familles, de la diplomatie du poignard. Or donc, Arimi a eu la douteuse chance de grandir dans ce milieu, entourée de personnes toutes plus retorses les unes que les autres, hypocrites, dégoulinantes de d’orgueil, et n’acceptant de fréquenter que ceux et celles étant du même acabit et/ou de même importance sociale et matérielle qu’elles. Malgré tout cela, jusqu’à l’âge d’environ neuf ans, Arimi suivait ses cours de harpe et autres lyres… Moment auquel elle a assisté pour la première fois à un lynchage en place publique. Le chiffre 9 revêtant une symbolique particulière dans la culture de Sigel, c’est à cet âge que commence la participation aux évènements mondains de la ville. De fait, Arimi n’a participé qu’à trois évènements mondains, les lynchages étant plus ou moins considérés comme tels. Choquée par ce dernier, elle a observé par la suite toute la décadence et l’horreur que peut revêtir sa ville natale. Une fois a suffit à l’opposer au régime en place, à l’en dégoûter et à lui donner une envie de changer le monde. Son troisième événement ne fut autre que… le lynchage, encore un, mais pas n’importe lequel : celui de son meilleur, et seul ami. S’étant en effet émancipée suite à ce qu’elle avait vu, faisant le mur afin de ne plus pratiquer la musique imposée par ses parents, elle avait fini par se retrouver, à force de promenades en ville, dans les bas quartiers de la cité. Là, même si elle avait pris soin de se déguiser avec de vieilles loques, elle fut vite repérée par les voyous… et les autres. Menacée, acculée, elle ne dût son salut qu’à l’intervention d’un apprenti boucher, assez diplomate que pour la laisser repartir sans casse. Ils firent plus ample connaissance en retournant sur les places marchandes et, par la suite, Arimi revint dans les bas quartiers, toujours accompagnée de son ami, qui s’était présenté sobrement sous le nom de Kyosuke, nom somme toute très commun pour le petit peuple de Sigel. Malheureusement pour l’un comme pour l’autre, une bonne fut chargée de suivre Arimi dans ses promenades, peu après que l’on se soit réellement rendu compte en ‘haut lieu’ qu’elle semblait omettre d’aller en cours de musique. Lorsque la bonne vit que la seule et unique fille de la prestigieuse famille Karasu (hem!) apprenait à voler à la tire en compagnie de vauriens et de la fange de la société, elle ne put, on s’en doute, s’empêcher de tout rapporter à ses maîtres, lesquels s’empressèrent de faire saisir Kyosuke, jeune garçon au physique assez ingrat, qui osait apprendre de telles chose en un tel endroit envers l’un des théoriquement plus beaux partis de la ville. Deux jours plus tard, ou une fois qu’Arimi put à nouveau s’asseoir, son postérieur cessant de lui faire atrocement mal suite au fouet qu’elle avait reçu en tant que punition, tout le monde parti en place publique… Arimi comprise. Là… Autant passer sur les détails : Kyosuke fut mis à mort par la population, Arimi horrifiée ne pouvant rien faire, rien dire, se griffant le visage au sang devant l’injustice et la laideur de la chose, les larmes coulant de son visage sans qu’elle ne veuille ni ne sache les arrêter. Suite à ce triste événement, elle se cloîtra dans sa chambre une semaine durant, ne s’échappant par la fenêtre que la nuit pour passer par le jardin, puis la fenêtre de la cuisine afin de voler de la nourriture. Après une semaine d’enfermement, elle sortit, de nuit. Elle emprunta le maximum d’argent possible, ainsi que de bijoux, pris une grande cape, trop grande pour elle, et sa robe fétiche, revêtant pour partir un pantalon de cuir, utilisé habituellement pour l’équitation, une tunique resserrée à la taille par un baudrier, et mis par dessus une seconde tunique, plus chaude. Elle prit une paire de bottes dans l’entrée, et vola un cheval, selle et bride inclus. Ses affaires dans un grand sac à dos, elle partit, sans un regard en arrière. Et c’est ainsi que commença son voyage.

Les voyages : Partie au nord, au sud, à l’est et à l’ouest – quoi que pas en même temps dans toutes les directions -, Arimi rendit visite à un oncle qu’elle savait vivre loin au septentrion. Elle se remit mentalement deux mois durant en ces contrées, accueillie avec chaleur avec ce personnage si humain après la population démoniaque de Sigel, reprenant contact avec la nature, passant nombre de ses après-midi dans les arbres. C’est à l’occasion de son anniversaire de dix ans que son oncle lui offrit sa seconde boucle d’oreille, la première lui ayant été offerte par Kyosuke. Il lui expliqua le pourquoi de la chèvre prête à charger, à savoir son agilité et sa pugnacité face au monde. Suite à cela, Arimi lu énormément dans la bibliothèque de son oncle, tombant un jour sur un livre écrit par un voyageur des siècles passés, qui avait passé quelques temps en tant qu’invité dans un village shinobi. Intéressée, elle dévora le livre, et retourna la bibliothèque entière afin d’en savoir plus. Enfin, séduite par l’état d’esprit général, la philosophie qui lui semblait s’en dégager, elle reprit ses affaires, laissant le cheval à son oncle, et reparti, bâton en main, sur les routes. Tout en descendant plus ou moins vers le sud (n’ayant pas exactement un sens de l’orientation très efficace, elle fit de nombreux slaloms entre nord et sud), elle rencontra un marchand d’animaux, qui maltraitait sa marchandise. S’approchant, elle vit un tout jeune corbeau blanc, la symbolique de la rencontre ne lui échappant pas sur le coup. Tandis qu’elle restait songeuse face à l’animal, le marchand commença à lui poser questions sur questions, la tirant ainsi de sa réflexion et la mettant en colère. Se mettant alors à hurler, folle de rage, elle bouscula dans sa progression vers le marchand, sans s’en rendre compte, une cage de chien mal fermée, celui-ci attaquant, rendu extrêmement agressif par le hurlement strident d’Arimi, le premier venu, à savoir le marchand (ce passage peut sembler assez flou, mais étant donné qu’Arimi elle-même n’a pas réellement compris ce qui se passait sur le moment, ni par après d’ailleurs…). Saisissant sa chance, elle s’empara de la cage du corbeau et s’enfuit. Elle revint quelques heures plus tard et, voyant le marchand mort au sol et le chien s’étant enfui, elle ouvrit les cages et s’en fut, sortant le corbeau de sa prison, le plaçant sur son épaule. Ensemble, ils parcoururent des kilomètres en direction plus ou moins exacte des contrées intéressant Arimi. Parias de leur espèce ou famille, le corbeau blanc et le Corbeau Blanc suivirent ou pas la route, restèrent ou pas dans les villes, pour enfin arriver dans le village de Suna, loin de Sigel, dans une contrée sableuse, et terriblement rassurante pour Arimi. Elle se fit accepter, tel l’auteur du livre motivant son voyage l’avait fait, et décida, deux ans après son arrivée, de devenir élève auprès de l’Académie, afin, à terme, d’aider en guise de remerciement la communauté qui l’avait accueillie, et pourquoi pas, un jour retourner à Sigel changer la ville. De fait, Arimi fut recueillie par une femme du clan Kutsuju, Takako, qui, stérile, ne pouvait avoir d’enfant, et s’est prise très vite d’affection pour elle, la trouvant charmante tant par son attitude que par sa volonté. Takako supplia le conseil de la laisser choyer Arimi comme sa propre fille, ayant un trop plein d’amour maternel à dépenser. Son ‘adoption’ fut acceptée par le conseil du clan après quelques semaines de délibérations, étant donné qu’au final, tout le monde y trouvait son compte : Takako avait un enfant, et Arimi une famille qui l’appréciait et qu’elle appréciait. Durant plusieurs semaines et mois, Arimi eu l’occasion d’observer la beauté de la marionnette et son utilisation à toutes les fins possibles. Profondément impressionnée, elle fit donc la demande au conseil de l’autoriser à apprendre leur art, autorisation qui lui fut délivrée après quelques réunions (Arimi étant très polie, et extrêmement reconnaissant et respectueuse envers les Kutsuju qui l’avaient accueillie, elle n’imaginait même pas oser apprendre une de leurs connaissances sans leur demander leur autorisation).
Note : il fut dit qu’elle avait volé argent et bijoux. De fait, après son passage chez son oncle, elle les vendit, mais fut vite la proie de brigands, se retrouvant de la sorte réduite à chaparder… Contrairement à ce qu’on pourrait penser, elle ne fut pas désespérée et n’employa que le vol à la tire pour sa subsistance, de façon assez heureuse puisqu’elle a toujours ses deux mains. Au contraire, ce détroussement lui fut bénéfique : le fait de vivre au jour le jour lui fit beaucoup de bien, finissant de la remettre sur pieds mentalement, et lui donnant une philosophie de vie assez saine pour ce qu’elle vivait durant cette période : prendre ce que le jour lui donne, sans espérer quoi que ce soit, et se faire une fête de tout ce que l’on peut recevoir comme petits cadeaux de la part du destin, hasard,… Quel que soit le nom que l’on donne à cette instance. Dans ses quêtes au cœur des poches, il lui arrivait de tomber sur de bien étranges surprises, telles des lettres, de petits présents,… qu’elle s’empressait d’aller donner à qui de droit, moyennant rétribution, après en avoir pris connaissance. Ce fait rendait le vol à la tire encore plus attrayant à ses yeux, étant ainsi au secret d’évènements ou de relations parfois inconnus du grand public, de l’élite voire des conjoints des intéressés… De fait, elle prit réellement goût à cette activité durant cette période bénie pour elle. Régulièrement, elle s’exerce encore au vol à la tire, rendant toutefois désormais leurs biens aux victimes de ses larcins, n’en ayant plus besoin.

Goûts, défauts, qualités, caractéristiques : Arimi n’est pas spécialement contrariante, hormis lorsqu’elle décide de se détendre un peu et donc de jouer avec les pieds de ses confrères voire professeurs, mais n’étant pas pour autant irrespectueuse ou méchante. Elle visite assez souvent les poches des passants, mais surtout pour garder la main dans l’art qu’elle a développé, rendant désormais leur propriété aux personnes victimes de ses indiscrétions. Quelques fois, lorsqu’elle sent qu’elle s’énerve, il lui arrive de hurler de façon… particulièrement stridente. Il lui arrive d’avoir des sautes d’humeur, périodes pendant laquelle elle ne parle plus à personne, évitant ainsi d’être désagréable, ainsi que de longues périodes de profonde dépression, qu’elle guérit souvent à coups de sucré, salé et épicé, mélangeant souvent le tout de façon assez peu ragoûtante (en bref, il lui arrive d’être légèrement boulimique sur les bords). Ceci dit, elle semble avoir horreur de la nourriture trop sucrée, et n’hésite pas à tout balancer un peu partout lorsque la nourriture ne lui convient pas. De la même façon, elle envoie tout valser de temps en temps lorsque quelque chose ne fonctionne pas comme elle le voudrait. Elle a tendance à rougir facilement, que ce soit sous le coup de la timidité (ce qui lui arrive surtout face aux étrangers) ou sous le coup de la colère. Elle porte très souvent sa longue cape à capuchon, sa carnation très pâle en faisant une proie idéale pour les coups de soleil et autres insolations. Elle transporte toujours beaucoup d’eau dans des outres de son sac, ainsi que de la nourriture. Elle lit énormément, toujours intéressée par les autres cultures, et terriblement intéressée par l’histoire du village et des environs. Il lui arrive quelques fois de rester songeuse, un peu à l’extérieur de Suna, assise dans le sable, contemplant l’horizon d’un air presque triste, réfléchissant parfois trop à ce qu’auraient pu être passé, présent et futur. Dans ces moments, elle semble tout à fait isolée du monde, ce qui se passe autour d’elle n’ayant strictement aucun pouvoir, aucune incidence ou influence, voire même aucune emprise sur elle. Quelques fois, même, il lui arrive de gratifier son corbeau d’un monologue nostalgique… de ses périodes dans les bas quartiers, son bref séjour chez son oncle, ses moments heureux. Arimi semble tout de même assez optimiste, profitant du temps qui passe en dehors de ses périodes de cafard.

En résumé, elle peut être parfois assez solitaire… mais jamais très longtemps, revenant souvent vite à de bonnes dispositions.

Et bien ... euuh ... que dire ...

Ecriture splendide ... plaisir de lire ... personnage doté d'un superbe concept, BG bien etoffé, description géniale, continue comme ça ...

( Désolé pour le retard c'est intolérable, je sais )

Enfin bon, je donne mon accord et te souhaite la bienvenue sur notre forum ...

Espérant t'y voir bientôt ...

Bien, malheureusement, Yumiko aura pris la parole avant moi, et par la même occasion retiré les mots de la bouche, car dans mon cas aussi, je validais ton intégration.

Quoiqu il en soit, bienvenue parmi nous, et j'espere bientôt pouvoir faire du RP avec toi (comme tu le sais déjà.)

Bonne soirée.

En fait, ca me fait penser à un truc que je n'ai pas dit.... Hmmmm....


Merci pour l'accueil

Waaaah bienvenue parmi nous Karasu Arimi, Tu es officielement ACCEPTEE !

Tu receveras les accès très prochainement, patience. Tu auras surement un petit mot attentionné du kazekage d'ici peu ( enfin il a intétêt aussi non je sors mon katana).

Je te souhaite des jours heureux et ensoleillés parmi les habitants du village de Suna no kuni !

Quoi? le kazekage n'est pas une traduction approximative du mot 'croquemitaine'? M'aurait-on menti?...

En tous cas, ca me rassure^^

Je n'aurais plus osé ouvrir la page du forum si ca avait été le cas...

Ceci dit, encore une fois, merci beaucoup

Félicitation, tu fais désormais partie de la grande famille de Suna

Si j'ai bien vu, tu as reçu tes accès. Donc tout est en ordre pour toi, il ne te reste plus qu'a compléter ta fiche de perso. Normalement un admin te recontactera par mp pour régler ce petit détail.

Encore félicitation pour ton agréable BG et bon amusement sur notre forum.

D'accord, merci; je vais donc attendre sagement qu'un GA (gentil admin) me contacte, histoire de ne pas faire n'importe quoi avec ma fiche de personnage (je me connais, je risque de faire d'Arimi soit une larve, soit une déesse catastrophique)

En attendant je vais m'occuper de mon post pour la faire arriver plus ou moins à l'heure pour les cours ^^

Bwhahaha voilà le grand Kazekage. Arrivant avec une légère brise soulevant quelque grains de sable, un rayon de lumière tombant sur lui venu du fin fond du ciel … Quoi le rp a pas commencé ?? Ha m**** ( quoi c’ est pas marrant… Bon d’accord je sors ^^)

Bon sérieusement bon voilà commencer mais par où commencer…

Whaouuuu j’ adore, magnifique que dire… j’ ai pris un plaisir fou à lire ton histoire.

En tout cas je te dit … Acceptée ^^ ( quoi on l’ a déjà dit grrrr :p)

A oui je tenais à te dire cette rumeur entendue sur moi et tout à fait fausse je suis pas croque mitaine … enfin si mais juste à mais heure perdue :p ^^

Bon aller bienvenu et puis… j’ ai hâte de faire du rp avec toi